31 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Les bonobos ne se trouvent qu'en République démocratique du Congo, l'ex-Zaïre. Dans ce pays ravagé par la guerre civile, ils sont doublement menacés : chassés pour leur viande, ils sont aussi la cible des trafiquants.
Au Lola ya bonobo (paradis des bonobos), à 50 km de Kinshasa, Claudine André recueille, depuis douze ans, les jeunes singes dont les parents pour la plupart ont fini sur les étals des boucheries. Grâce à cette jeune femme belge et à son équipe, quelque 300 orphelins ont déjà été sauvés. Dominique Hennequin a suivi le petit Lomami, arrivé depuis quelques jours, devenu extrêmement craintif après avoir eu le bout des doigts mutilé par des braconniers.
Mais aussi la première naissance d'un bébé singe à Lola. Si elle accepte le petit, sa mère retrouvera-t-elle les gestes pour l'allaiter ? Si des liens de parenté se nouent dans le groupe d’orphelins, Claudine André aura franchi un pas de géant : permettre aux bonobos de retrouver une vie indépendante, peut-être même dans leur habitat naturel.
Le capitaine Michel Stephan, à bord du navire postal Enez Eussa, assure depuis plusieurs années la liaison Brest-Molène-Ouessant, transportant marchandises, courrier et passagers. En hiver, quand les tempêtes se déchaînent, il est l'une des rares embarcations à pouvoir prendre la mer. Il emprunte le redoutable chenal de Fromveur, croise à mi-parcours l'écueil de Men Tensel (la "roche hargneuse"), sur lequel se dresse le célèbre phare Kéréon. Sur la pointe nord-ouest d'Ouessant, c'est celui de Créac'h qui indique la route aux navires. Au total, pas moins de six phares, parmi les plus puissants d'Europe, sont nécessaires pour assurer la sécurité de la navigation.
Bouleversé par la vision d'une carte postale de Belle-Île-en-Mer, Nicolas, un jeune garçon vivant dans une famille d'accueil, fugue pour rallier ce lieu de fascination. Après quelques jours d'auto-stop, il arrive à la périphérie de Nantes, où il fait la connaissance de Charly, une jeune fille qui vit dans une caravane et se prostitue pour assurer le quotidien. "A l'instinct, Isild Le Besco, "princesse chinoise aux yeux bridés", grave ses images fondamentales dans nos âmes." Gérard Lefort - Libération
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.