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Dans le Japon militariste de 1936, un couple défraye la chronique en vivant une passion charnelle extrême. Ancienne geisha, Sada, servante dans une auberge de Tokyo, attire l'attention de Kichi, le mari de sa patronne. Très vite, les deux amants sont pris d'une passion charnelle dévorante. Cette recherche effrénée du plaisir les conduira jusqu'aux extrémités de leur amour.
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.
Inde, au début du 18ème siècle. La cour du roi Chhatrapati Shahu a besoin d’un nouveau dirigeant. Le jeune Bajirao, guerrier émérite doté d’une grande sagesse spirituelle, est choisi. Quelques années plus tard, durant l'un de ses voyages, Bajirao rencontre Mastani, princesse guerrière qui lui demande de l'aide pour repousser ses ennemis. Soufflés par leur bravoure mutuelle, ils tombent amoureux...
Elles ont à peine 20 ans et affrontent l'État Islamique au Kurdistan syrien. Dans cette région du monde où l'homme marche devant et la femme derrière, le fait qu'elles aient pris les armes au côtés de leurs frères revêt une signification extraordinaire. Leurs foulards de couleurs, leur calme et leur courage ont fait le tour du monde. À contrepied des flux catodiques d'images de guerres, Stéphane Breton filme leur quotidien dans un monde en ruine, l'attente et les veillées d'armes autour du souvenirs des disparus. Ce sont les combattantes kurdes, les Filles du feu.