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Poussée par les promesses d’une nouvelle vie, Jessica, une Française de 19 ans, part pour la Syrie rejoindre Daech. Arrivée à Raqqa, elle intègre une maison de futures épouses de combattants et se retrouve vite prisonnière de Madame, la charismatique directrice qui tient les lieux d’une main de fer. Inspiré de faits réels.
Poussée par les promesses d’une nouvelle vie, Jessica, une Française de 19 ans, part pour la Syrie rejoindre Daech. Arrivée à Raqqa, elle intègre une maison de futures épouses de combattants et se retrouve vite prisonnière de Madame, la charismatique directrice qui tient les lieux d’une main de fer. Inspiré de faits réels.
Un voyage cinématographique dans l'esprit d'Eileen Gray. La créatrice irlandaise construit un refuge sur la Côte d'Azur en 1929. Sa première maison est un chef-d'œuvre discret et avant-gardiste. Elle la nomme E.1027, mariage énigmatique de ses initiales et de celles de Jean Badovici, avec qui elle l'a construite. Le Corbusier, en découvrant la maison, est intrigué, obsédé. Il recouvre les murs de peintures murales et en publie des photos. Gray qualifie ces peintures de vandalisme et demande leur restitution. Il ignore ses souhaits et construit à la place son célèbre Cabanon directement derrière E.1027, qui domine encore aujourd'hui la narration du site. Une histoire sur le pouvoir de l'expression féminine et le désir des hommes de la contrôler.
A 24 ans, Anaïs fait un choix courageux et s'installe comme agricultrice en Bretagne. Rien ne peut alors arrêter cette jeune femme déterminée : ni les préjugés qui ont la vie dure, ni l'administration pointilleuses, ni les professeurs misogynes, ni les pannes de tracteur, ni les caprices du temps. Une décennie plus tard, Anaïs est désormais mariée avec Seydou, un jeune Sénégalais originaire de Casamance. La dure loi des frontières compliquant tout, ils vont devoir se relever les manches ensemble pour surmonter les obstacles administratifs et obtenir le visa dont Seydou a besoin pour s'installer en France...
Dix ans après leur premier documentaire à succès sur le jeûne, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade se replongent dans les recherches prometteuses sur une pratique en plein essor.
Et si, face au piège contemporain de la nourriture en abondance, sa privation contrôlée était une clé décisive pour notre santé ? À l’instar de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, pour qui les trois repas quotidiens n’avaient rien d’évident, serions-nous en réalité programmés par l’évolution pour jeûner ? Ces dernières années, la recherche – de la rhumatologie à l’oncologie – s’est massivement emparée du sujet, tandis que le jeûne intermittent, devenu un phénomène de société, dévoile des bienfaits désormais avérés. Si nos voisins allemands peuvent aujourd’hui profiter de cures de jeûne remboursées dans le traitement de certaines maladies chroniques, comme la polyarthrite, l’asthme, la fibromyalgie ou le diabète de type 2, cette pratique prometteuse et peu coûteuse suscite encore la méfiance du corps médical français… À tort ou à raison ?
Promesses et limites
Déjà auteurs en 2012 de l’enquête à succès Le jeûne, une nouvelle thérapie ?, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade rouvrent le dossier, en compulsant les résultats d'une nouvelle décennie de recherches foisonnantes et prometteuses. Alors que cette démarche, qui suscite un intérêt croissant du grand public, se trouve trop souvent récupérée par des "gourous" profitant du relatif silence des autorités médicales, leur documentaire replace la pratique sur le terrain scientifique pour en redéfinir les mécanismes, les promesses et les limites. Suivant le jeûne de quatorze jours de Stéphane, 50 ans, venu dans une clinique allemande pour s'attaquer à des problèmes métaboliques, le récit explore en parallèle les dernières études menées aux États-Unis, en Allemagne et en Italie, et décrit les mécanismes majeurs mis au jour par les scientifiques : l'autophagie, un programme d'"autonettoyage" intracellulaire, ou le "switch métabolique" qui entraîne la production de cétones, un supercarburant aux propriétés anti-inflammatoires. Alternative au jeûne de plusieurs jours, le jeûne intermittent – mise au repos cyclique du système digestif pendant au moins douze heures – pourrait aussi se révéler un allié de choix dans le traitement et la prévention de nombreuses maladies chroniques. Le jeûne fera-t-il un jour partie de nos politiques de santé publique ? C’est ce qu’espèrent les chercheurs interrogés dans ce film, qui se gardent bien, toutefois, de faire de la pratique un remède miracle : les contre-indications existent, et les cures se doivent d’être strictement encadrées.