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Amours, corruption et politique dans un quartier cosmopolite du Caire. Le célèbre auteur de "Gare centrale" et "Alexandrie pourquoi ?" signe un mélo à l'ancienne pour dénoncer les éternels abimes de l'âme humaine et les aberrations d'un pays flamboyant qu'il aime plus que tout, l'Egypte.
Guy et Jamie, deux septuagénaires, divorcent après 50 ans de mariage. Guy a pour nouvelle compagne la très jolie Julia, 35 ans, qui souhaite vivre avec lui. Mais Guy, sportif et dynamique, est réticent, trop heureux d'avoir recouvré une totale liberté. Trois ans après son divorce, une attaque cérébrale conduit Guy à l'hôpital. C'est alors qu'il découvre, incrédule et troublé, que la jolie coiffeuse que convoitent tous les papis du service n'est autre que sa femme, Jamie, complètement métamorphosée ! Mais Guy s'accroche et le miracle de la seconde chance a finalement lieu…
Le Caire, de nos jours. Youssef, la trentaine, est fasciné par l'Aquarium, le lieu de rendez-vous des jeunes amants cairotes. Médecin anesthésiste dans une clinique privée, il exerce dans les beaux quartiers mais pratique secrètement des avortements dans un autre quartier, pauvre et déshérité. A la clinique, juste avant qu'ils ne s'endorment, il écoute les délires de ses patients. Il peut ainsi, s'approprier des pans d'émotions dont son choix de vie solitaire le prive. Laïla, la trentaine elle aussi, lui ressemble beaucoup. Elle anime une émission de radio de nuit, "Le Monde intérieur", où elle recueille les confidences d'hommes et de femmes anonymes qu'elle conseille dans des moments de crises familiales ou amoureuses. Elle vit encore chez sa mère, et n'arrive pas à s'émanciper. A l'image de Youssef, la jeune femme vit sa vie par procuration. Chacun à sa manière, le père malade de Youssef et la mère de Laïla tentent de renvoyer leurs enfants à l'inconsistance de leurs vies, en pointant leurs contradictions...
Montée des nationalismes, obsession sécuritaire, xénophobie... Les thèmes et les discours populistes séduisent une partie croissante des Européens.
Analyse et décryptage de cette inquiétante mouvance, avec un gros plan sur les frères Kaczynski, au pouvoir en Pologne, auxquels l'eurodéputé Bronislaw Geremek vient de s'opposer avec tant d'éclat.Ce documentaire enquête à la façon d'un polar politique sur le parcours et le discours de cinq leaders de partis de la droite extrême. Que ce soit Jean-Marie Le Pen, dirigeant du Front national, Filip Dewinter, président du parti Vlaams Belang en Belgique, Christoph Blocher, chef de l'UDC suisse, la blonde Siv Jensen, du parti du Progrès norvégien, et le glaçant Volen Siderov à la tête du parti Ataka en Bulgarie, tous professent un même rejet des élites et des étrangers. Autre point commun : les scores importants réalisés par ces leaders lors des dernières élections, entre 10 et 27 %.
Le réalisateur Jean-Pierre Krief croise fort habilement les explications de ces tribuns experts en démagogie avec les analyses d'universitaires et de chercheurs qui reviennent sur la notion de populisme et ses mutations au cours des deux dernières décennies. Appel direct au "bon peuple", opposé ainsi aux classes supérieures corrompues (dirigeants, intellectuels...), contestation des systèmes en place et des institutions européennes, le populisme a besoin du charisme d'un individu pour s'exprimer. Mené tambour battant, le film se clôt sur la première réunion en janvier 2007 d'un nouveau groupe parlementaire, "Identité, tradition et souveraineté", qui réunit vingt députés de partis d'extrême droite et gagne ainsi en pouvoir au sein même du système démocratique qu'il cherche à combattre : le Parlement européen.
Guy de Saint-Cyr emmène sa troupe de passionnés à la pointe de la corne de l'Afrique, un lieu d'une extrême intensité géologique au croisement des trois plaques continentales. Ce voyage les conduit sur le lac Abhé : cette cavité asséchée aux allures de paysage lunaire a servi de décor au film "La planète des singes".
Angles sur L'Anglin, petit village du Poitou-Charentes. Ici, au pied d'une falaise calcaire, dans un abri sous roche appelé le Roc aux sorciers, se cache le plus beau joyau de la sculpture du paléolithique : une frise sculptée longue de plus de trente mètres, datant de 15 000 ans avant J.-C, une véritable "grotte de Lascaux de la sculpture". Ses auteurs : des Magdaléniens, ancêtres installés dans une grande partie de l'Europe de 18 000 à 11 000 ans avant notre ère, qui ont probablement disparu sous l'effet d'un brusque changement climatique.
Partant de ce site unique et des fouilles qui y sont menées, dotées des technologies les plus avancées, ce documentaire promène un regard passionné sur les hommes et les oeuvres. Où l'on découvre les outils utilisés et comment les sculptures avaient partie liée avec l'habitat - les anneaux intégrés à un bison servant ainsi à tendre des peaux pour séparer les aires de vie ; et surtout la place exceptionnelle réservée à l'art par les Magdaléniens. Une pratique qui aurait eu ses maîtres, transmise à l'aide de tablettes gravées, et un style que l'on retrouve jusqu'en Égypte. Si les représentations animales dominent, d'autres motifs, plus rares - symboles de la féminité, profils et visages - témoignent d'une réelle intention artistique.
Comment retrouver le goût de vivre ? Par un chemin parfois totalement inattendu. Esther, clouée sur son fauteuil roulant, rend folles ses garde-malades par sa mauvaise humeur... jusqu'au jour où le hasard lui fait rencontrer Halima : mais Esther est juive et Halima musulmane pratiquante. L'une et l'autre, en s'opposant, puisent une énergie qui devient positive : le monde leur semble offert de nouveau et, ensemble, elles redécouvrent le plaisir. Manger, se baigner... Rien n'est plus anodin désormais.