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Elena, jeune Française d'origine grecque, a dû mal à se remettre de la mort de sa mère, survenue un an plus tôt. Elle décide de retourner dans sa maison de vacances sur l’île de Lesbos où la présence de sa mère est partout. Heureusement, elle peut compter sur l'amitié de Nassim et Sekou, deux jeunes banlieusards trop heureux d'avoir quitté leur banlieue le temps d'un été. Mais les vacances vont être bouleversées quand le trio rencontre Elyas, jeune Syrien réfugié depuis peu sur l’île. Attirée par le jeune homme et émue par son histoire, Elena va tout tenter pour aider Elyas à continuer son périple et retrouver sa mère qui est dans un camp...
Loïs, 16 ans, n'a qu'un rêve depuis toute petite : devenir spationaute... s’envoler loin de cette Terre où elle se sent si étrangère. Mais elle a beau être surdouée en maths et physique, il y a un problème : Loïs pèse 100 kilos... et pas moyen d'échapper à ce truc de famille qui lui colle à la peau. Alors que tout semble perdu, Loïs rencontre Amélie, Stannah, et Justine, trois adolescentes abîmées comme elle par la vie, prêtes à tout pour partir avec elle dans l'espace…
Woodrow et Aiden préparent l'apocalypse en construisant Medusa, super-voiture équipée d'un double lance-flamme et d'un distributeur à Whisky. Quand Woodrow tombe follement amoureux, lui et Aiden sortent de leur tanière d'atelier et vont à la rencontre du monde. Mais la vraie vie est parfois plus dévastatrice que n'importe quelle hypothétique fin du monde.
Stan, Hugo et Bérénice sont amis depuis l'enfance. Ils se retrouvent à l'occasion de l'enterrement du frère d'Hugo dans le village où ils ont grandi. Ce temps retrouvé dans leur village natal, loin du tumulte de la ville et du train-train quotidien, est l'occasion de prendre recul et de se remettre en question pour définir ce qui les rend vraiment heureux. Ils comprennent qu'il n'est jamais aisé de quitter l'endroit où tout a commencé et où tout est encore possible...
La débâcle - Février 1940. Tandis que la Pologne, dépecée, commence seulement à enterrer ses morts, et que l'Allemagne fourbit ses armes pour la prochaine offensive, à Paris et, dans une moindre mesure, à Londres, on se berce encore d'illusions. Le 10 mai, la Wehrmacht envahit la Hollande, le Luxembourg et la Belgique...
L’histoire de ces trois grandes puissances, entraînées dans le maelström d’un conflit qui s’étendra bientôt à la planète entière, est ici racontée uniquement par le biais de leurs actualités cinématographiques. Celles-ci nous révèlent, en ces heures dramatiques, ce que les populations regardaient et ce que les pouvoirs voulaient faire savoir, ou dissimuler.
Derrière les lignes
C’est au décryptage de cette véritable guerre des images que nous convie le film, dans la lignée de Deux cents jours pour refaire le monde, réalisé pour ARTE par Jean-Christophe Rosé en 2005. On y voit la guerre elle-même, évidemment, avec ses épisodes et ses lignes de front, mais aussi ce qui se passe derrière les lignes, d’où émerge l’esprit du moment. Derrière le sens caché des images se révèlent les vrais enjeux en cours.
La maison est au 9 bis, vieille route de Landerneau, en haut du Donegal. Non, ce n’est pas le propriétaire qui fera les visites, parce qu’il n’est plus là, mais il y a quelqu’un qui connaît bien.
Un mot, un objet, une image, une coutume, une onomatopée… une devinette ! Karambolage se penche sur les particularités de la culture quotidienne française et allemande.
Quel bruit fait le déclencheur d’un appareil photo ? Pour commémorer le début de la fin du Rideau de fer, Jeanette Konrad revient sur le cliché emblématique qui a immortalisé la défection du soldat Hans Conrad Schumann lors de la construction du Mur en 1961 ; et bien sûr la devinette.
Après une nuit arrosée, Jonas décide sur un coup de tête de rendre visite à son ancienne petite amie, Léa, dont il est toujours amoureux. Malgré leur relation encore passionnelle, Léa le rejette. Éperdu, Jonas se rend au café d’en face pour lui écrire une longue lettre, bousculant ainsi sa journée de travail, et suscitant la curiosité du patron du café. La journée ne fait que commencer...
Pour son premier film, Vincent Delerm prolonge son travail ultrasensible sur l’intime, la mémoire et le rapport aux autres. Qu’est-ce qui nous construit ? Que ressentent les gens autour de nous ? Nos émotions et sensations n’appartiennent-elles qu’à nous ? Chaque personnage, célèbre ou anonyme, livre à Vincent Delerm quelque chose de lui, définissant sa sensibilité et sa manière de voir l’existence. Témoignages qui font sourire parfois, serrent le cœur souvent, conjuguent l’intime et l’universel. En filigrane, les propres émotions de l’auteur se dessinent le long d’un film musical, photographique, dont la narration est comme un fil invisible.