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"L'opéra des opéras" avec le baryton Peter Mattei, plus rayonnant que jamais en Don Giovanni, et la soprano Mireille Delunsch qui nous offre un "Mi Tradi" haut de gamme. Une table de café, un linge de pique-nique plié pour évoquer un dais nuptial, des bancs dressés comme des pierres tombales, des mâts colorés... autant d'éléments de cette production emblématique du Festival d'Aix-en-Provence qui donnent à l'oeuvre vigueur, humour, grâce, tendresse, gravité. La sobriété du décor, loin de toute reconstitution historique, et la mise en scène dépouillée de Peter Brook, qui n'en était pas à son coup d'essai dans le domaine de l'opéra, permettent au jeu des acteurs et à la beauté des voix d'éclater et laissent libre cours à l'imagination du spectateur.
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Une marquise confite dans le deuil et un chevalier au coeur brisé s’éprennent l’un de l’autre, à leur grande surprise, mais pas à celle de leurs domestiques. Lisette, tête bien faite et langue pendue de même, et Lubin, soupirant d’icelle, valet sans malice mais non sans charme, complotent pour unir leurs gémissants maîtres respectifs. Il leur faut pour cela déjouer les assiduités d’un Diafoirus au petit pied et d’un Casanova vieillissant… La seconde surprise de l’amour est l’une des comédies les plus émouvantes de Marivaux. Mis en présence l’un de l’autre, la veuve inconsolable et l’amoureux trahi se découvrent, se confient. Surgit la question qui, plus que toutes, a passionné le dramaturge : comment naît l’amour ? Comment une amitié devient-elle ce qu’on appelle “dangereuse” ? La mise en scène de Luc Bondy, créée à Vidy-Lausanne et reprise en tournée (notamment au Festival d’Automne 2007 et aux Amandiers de Nanterre), fonctionne à la perfection. Une version subtile et limpide à la fois, qui fait résonner Marivaux avec une force renouvelée.

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Petr et Bambas sont d’anciens camarades de conservatoire, et amis. Petr, aujourd’hui soliste violoncelliste installé à Prague, vient donner un concert dans la ville de province où Bambas, directeur d’une école de musique, l’a invité pour compléter l’orchestre local. Petr est accompagné de sa jeune amie, Bambas les accueille dans sa maison, où il vit avec avec sa femme, ses enfants et … ses beaux-parents. Les retrouvailles sont joyeuses et fébriles, et le décalage… immédiat.
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En 1956, Romain Gary remporte le Prix Goncourt pour son livre Les racines du ciel. Dix-huit ans plus tard, désireux de redevenir un inconnu que l'on juge avec un regard neuf, il invente l'écrivain Émile Ajar, à qui son petit cousin, Paul Pavlowitch, prête son visage. Gary fabrique de toutes pièces la vie et l'œuvre de cet auteur inexistant… dont le succès est fulgurant.

La vie devant soi obtient le Prix Goncourt 1975 et Ajar devient le chouchou des critiques. Gary est pris à son propre piège. Mais pourquoi s’obstine-t-il au secret ? La réponse à cette question se trouve dans le passé, dans l’enfance de Gary. La clé d’Ajar est à Vilnius, où il est né. Mais pour la trouver, il faut écarter les voiles, les fausses pistes que Gary a disposés lui-même. Véritable œuvre d'art par sa durée (quatre romans publiés en sept ans) et son ampleur (La vie devant soi s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires), l'affaire Ajar constitue une mystification sans précédent dans le milieu littéraire français. Au moyen de films et d'images d'archives – notamment celles de Romain Gary sur les plateaux télés des années 1970 et dans l'intimité de son bureau –, Philippe Kohly évoque les démons de l'écrivain, son enfance compliquée entre une mère trop exigeante et un père absent et en dresse un portrait passionnant. Les témoignages des personnages impliqués dans l'affaire Ajar (dont Paul Pavlowitch) permettent de retracer l'histoire d'un homme qui aura vécu caché derrière de multiples identités.

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Adolescente complexée et renfermée, Françoise Hardy se réfugie dans la musique. En 1961, à l'âge de 17 ans, elle décroche son premier contrat avec une maison de disques. En pleine vague yé-yé, le titre "Tous les garçons et les filles" la propulse au rang d'étoile montante de la chanson française. Sa beauté envoûtante, ses textes mélancoliques et sa grande timidité conquièrent le cœur du public et des critiques. Elle affiche sa silhouette longiligne en couverture des magazines, s'essaye au cinéma et se produit dans toute la France. En 1967 débute son idylle avec Jacques Dutronc, dont elle aura un fils, Thomas, né en 1973. Lasse de devoir lutter contre son hyperémotivité, elle décide brusquement d'arrêter la scène et de se consacrer uniquement à l'enregistrement de ses albums, entourée de Michel Berger, de Serge Gainsbourg ou d'Étienne Daho. En 2004, suite à un problème de santé, Françoise Hardy éprouve le besoin de crier son amour de la vie. Comme à son habitude, elle recourt à l'écriture comme catharsis et met en musique ses souffrances et ses doutes. L'enregistrement de l'album Tant de belles choses, auquel collabore Thomas Dutronc, débute peu de temps après. Dans l'intimité du studio et dans sa villa de Corse, où elle se ressource avec son mari, Françoise Hardy feuillette l'album de sa vie. Avec un franc-parler et une lucidité incroyables, elle évoque son enfance marquée par l'absence de son père, le couple mythique qu'elle forme avec Jacques Dutronc, le bonheur d'être mère et ses quarante ans de carrière. De nombreux extraits d'émissions, d'interviews et de scopitones retracent l'engouement suscité par celle qui fut une égérie des sixties, adulée par Bowie ou encore Mick Jagger, qui la considérait comme son idéal féminin.

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Des milliers de km de tunnels creusés pour y déposer des déchets nucléaires. Science-fiction ? Non : Finlande, 2010 ! Mais qui peut encore croire toute contamination impossible ? Paroles d'experts et incroyables images pour ce documentaire fort, primé dans le monde entier : Meilleur doc au Festival Nordique de Bergen, à Nyon, Grand prix du Festival du Film d'Environnement (Paris)...
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Christine et Mike mènent une petite vie tranquille dans la banlieue de Londres avec leur fils Sebastian. C'est le début de la soirée. Le couple prépare le dîner, répond au téléphone, ouvre une bouteille de vin. C'est alors qu'on frappe à la porte... Commence alors pour eux un long calvaire.

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Au début des années 80, le monopole d’Etat sur la radiodiffusion explose et des centaines de radios libres investissent la bande FM. Le 14 décembre 1981, la radio Carbone 14 émet pour la première fois sur Paris. Elle va connaître un succès grandissant avant d’être interdite par l’Etat en 1983. Carbone 14, le film rend compte de l’ambiance survoltée de cette radio hors-norme qui comptait parmi ses animateurs : Supernana, Jean-Yves Lafesse, David Grossexe, Robert Lehaineux, José Lopez... Radio irrespectueuse, devenue mythique, Carbone 14 était l’une des stations les plus inventives et drôles de sa génération. Sélectionné au festival de Cannes en 1983, ce film ovni constitue l’un des rares témoignages en images sur le mouvement des radios libres. Il sort de la clandestinité à l’occasion des 30 ans de Carbone 14 et de la libération de la bande FM.
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Apparue en Anatolie et au Caucase, la culture de la vigne a doucement conquis la planète. Mais, au milieu du XIXe siècle, des maladies importées d’Amérique s’abattent sur elle : phylloxera, mildiou, oïdium... La science de l’époque sauve in extremis le vignoble occidental mais, en contrepartie, elle s’impose comme un recours incontournable. D’où un excès de traitements chimiques qui vont garantir les rendements au mépris de l’environnement. Mais, aujourd’hui, la recherche d’alternatives écologiques favorise un nouveau pacte entre la vigne et une science respectueuse des lieux et des terroirs. En France, en Allemagne, en Suisse ou en Italie, rencontre avec des chercheurs, des œnologues et des vignerons qui tentent de renouer le lien millénaire entre l’homme, la vigne et le vin.

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Comment une fratrie de mécènes américains installés à Paris a permis l’éclosion de l’art moderne des deux côtés de l’Atlantique. Passionnant.

Quand Leo Stein s’installe à Paris à la fin de l’année 1902, sa sœur Gertrude ne tarde pas à le rejoindre, suivie de près par Michael, l’aîné, venu avec sa femme Sarah. Issus d’une famille juive aisée établie en Californie – leur père gère le tramway de San Francisco –, ils bénéficient d’un taux de change avantageux qui leur permet d’acquérir les toiles de jeunes artistes, dont ils acceptent sans préjugés les recherches plastiques les plus audacieuses.

Michael et Sarah, qui vouent une admiration inconditionnelle à Matisse, organisent rapidement leur collection autour des œuvres du peintre fauve. De leur côté, Leo et Gertrude (puis Gertrude et sa compagne Alice Toklas) accrochent des Cézanne, des Picasso, mais aussi des Gauguin ou des Juan Gris sur les murs de leur appartement. Le 27 rue de Fleurus, dans le sixième arrondissement, devient ainsi le centre névralgique de l’avant-garde de l’époque. Des peintres, des poètes venus de toute l’Europe, des écrivains américains (Fitzgerald, Hemingway…) se bousculent aux portes de ce premier "musée" de l’art moderne.

 

Frénésie artistique

Poète, écrivaine et dramaturge, Gertrude Stein a trouvé dans la peinture une source d’inspiration, notamment chez les cubistes qu’elle a ardemment défendus. Mais alors qu’elle jouit aujourd’hui encore d’une certaine notoriété – elle est l’un des personnages du dernier film de Woody Allen, Minuit à Paris –, l’influence de ses frères dans la promotion de l’art moderne est oubliée. Ce documentaire foisonnant, éclairé par les interventions de nombreux spécialistes (historiens de l’art, de la littérature, conservateurs de musées…), retrace le parcours de cette fratrie emblématique de la frénésie artistique du début du XXe siècle, qui a joué le rôle de passerelle entre les disciplines et entre l’Europe et l’Amérique. Des archives sonores et visuelles d’une richesse surprenante viennent compléter ce film raffiné qui redonne vie à une époque, au-delà de la saga familiale.

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