2039 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Fantaisie, adolescence, apprentissages sexuels... Six courts-métrages (2001/2008) remarqués et primés qui ont défini l'univers de Pascal-Alex Vincent avant son premier long-métrage "Donne moi la main". Des films souvent joyeux et décomplexés, qui se placent esthétiquement dans la filiation des oeuvres que le jeune cinéaste affectionne et aime entremêler : l'anime japonais, les comédies musicales populaires de Bollywood, les portraits ambigus de la jeunesse façon Gus Van Sant ("Bébé Requin" fut présenté dans section court-métrage de la compétition officielle du Festival de Cannes)...
Vue imprenable sur le monde tel qu’il va depuis la tour de contrôle d’Armando et Maria, huit étages au-dessus du Douro. Armando est l'éternel prolétarien tandis que Maria est la femme de foyer consumériste. Le portrait drôle et profond d’un vieux couple portugais dont l’intimité a su rester poreuse au contemporain.
À 18 ans, Alex fait une chute toute bête. S'ensuivent neuf mois de coma. Puis un corps brisé, qui ne répond plus.
Enfermée plus de deux ans dans un "locked-in syndrome", elle en sort miraculeusement mais reste muette pendant cinq ans. Petit à petit, alors que les médecins la disent condamnée à l'état végétatif, elle regagne l'usage de ses membres, puis celui de la parole.
Voilà maintenant dix-sept ans qu’Alex se bat chaque jour contre son corps. Des années de séances de rééducation pour dépasser la paralysie, regagner un peu d'autonomie et vivre pleinement sa vie de femme... Et pourtant, Alex vit son handicap comme une opportunité. Ce documentaire est autant le portrait d’une femme qu’une leçon de courage.
Du romantisme à l’expressionnisme, du Symbolisme à la Nouvelle Objectivité, de « l’art héroïque » à « l’art dégénéré », faire une histoire de l’art allemand, c’est parler de courants esthétiques fondamentaux, c’est parler d’artistes visionnaires ou révolutionnaires, c’est évoquer des villes ouvertes sur le monde et des périodes sombres et tragiques. C’est faire une histoire à la fois culturelle, sociale et politique dans laquelle les créateurs et les œuvres ont été les acteurs incontournables des tourments et des espoirs d’une nation.
Jamais le créateur ne s'était raconté de cette façon : assis à son bureau, bloc et feutres en main, Karl Lagerfeld croque les événements de sa vie et de sa carrière, en les ponctuant de commentaires et de bribes de récits intime, vifs, teintés d'autodérision et parfois même d'émotion. Après s'être dessiné dans sa tenue du matin – une longue chemise blanche à grand col en guise de tenue d'intérieur – il esquisse son enfance (sa maison, ses parents, ses vêtements déjà originaux…), ses premiers pas de couturier à Paris chez Balmain puis Jean Patou, avant qu’il ne devienne à partir de 1965 le grand mercenaire du prêt-à-porter et rencontre cinq ans plus tard l'homme de sa vie, le dandy Jacques de Basher…
Mal connu, le Bangladesh est un pays complexe. Le Dessous des cartes analyse les différentes réalités de cet État d’Asie du Sud, entre dynamisme économique et poussée démographique, et s’intéresse aux défis qui l’attendent pour le XXIe siècle, notamment ceux liés au changement climatique.