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Le jazz, le coca-cola, le chewing-gum... les produits made in USA avaient la cote dans l'Europe de l'après-guerre, et en France en particulier. Le Plan Marshall, lui, contenait aussi un aspect de stratégie économique. Reconstruire les pays d'Europe, c'étaient aussi construire de futurs marchés pour les produits américains.Images d'archives et nostalgie à l'appui, voici un documentaire qui analyse avec finesse le rapport, parfois ambigu, entre la France et les Etats-Unis à l'époque.
Une autopsie du drame en forme de fiction, qui dénonce le mensonge d'État et explore avec acuité la crise des banlieues. Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-bois, trois jeunes garçons affolés parce que poursuivis par la police, trouvent refuge dans un transformateur électrique EDF. Deux d'entre eux, Bouna 15 ans et Zyed 17 ans, vont mourir électrocutés, le troisième, Muhittin, va miraculeusement survivre à ses brûlures. Que s'est-il réellement passé ? Le film interroge ces événements et propose par le biais de la fiction une réflexion sur l'exercice du pouvoir et le fossé qui se creuse entre les jeunes de banlieue et le politique.
Selon les classifications naturalistes, il existe un véritable abîme entre le monde animal et le monde végétal. Pourtant, sur les traces de Charles Darwin, des biologistes réputés sont en train de montrer que l'intelligence des plantes est peut-être une réalité. Les plantes mettent en oeuvre des stratégies sophistiquées pour vivre leur sexualité, mais aussi pour voyager. Elles éprouveraient des sensations. Elles auraient même de la mémoire. Jacques Mitsch met en scène avec humour la vraie vie des plantes pour nous révéler leurs talents cachés, sans jamais se départir de sa rigueur scientifique. Nous entraînant aux frontières mouvantes qui séparent les règnes animal et végétal, il nous tend au passage un miroir drolatique et passionnant.
Le dollar est-il en péril ? Première puissance économique mondiale, les États-Unis sont aussi le pays le plus endetté de la planète.
Ce film enquête sur cette ardoise qui vaut aujourd’hui 8 000 milliards de dollars. “Le pays tout entier vit au-dessus de ses moyens”, constate Nouriel Roubini, professeur d’économie à la New York University. Malgré une Bourse au sommet, les citoyens américains ne s’enrichissent pas. Ils multiplient les cartes de crédit, afin de consommer toujours plus. Interviewés dans ce documentaire, certains d’entre eux racontent cette vie à crédit ou expriment leur révolte face à l’absurdité du système, comme cette vendeuse ambulante qui refuse de payer ses impôts. Interrogés aussi, les économistes s’inquiètent mais ne délivrent pas le même diagnostic.
Certains croient au dicton “Quand l’Amérique tousse, c’est le monde entier qui s’enrhume”, et annoncent une chute du dollar avec, à la clé, une grave crise mondiale. D’autres prévoient une récession en douceur qui diminuerait le niveau de la dette. Reste que la classe moyenne, dont le niveau de vie diminue, s’alarme. Elle assiste à la crise de certains secteurs de l’industrie américaine, comme celui de l’automobile, voit s’effondrer l’emploi et maintenant l’immobilier, avec des répercussions immédiates sur tous les crédits en cours et sur les fonds de garantie. De plus, les entreprises délocalisant pour produire à moindre coût, la Chine est l’un des principaux pays à produire pour les États-Unis et à leur avancer des fonds, finançant ainsi leur croissance. Un mécanisme sans fin qui risque de plonger l’Amérique dans le gouffre.
En 1987, le décès subit de Mario Formenton, qui dirige la première des maisons d'édition italiennes, la Mondadori, ouvre une bataille de succession entre deux des plus brillants hommes d'affaires du pays, Silvio Berlusconi et Carlo De Benedetti, tous deux actionnaires minoritaires. En décembre 1988, De Benedetti, signe un accord avec les héritiers qui lui garantit le contrôle des deux sociétés réunies. Un an plus tard, c'est le coup de théâtre : pour étendre son empire médiatique, Berlusconi convainc la veuve de Formenton de lui céder ses actions et s'empare de la présidence du groupe... C'est le début d'un très long feuilleton judiciaire où le chef de Forza Italia - qui a accédé au pouvoir une première fois en avril 1994, puis à nouveau en juin 2001, et a bénéficié d'un non-lieu pour prescription - va faire feu de tout bois pour éviter la condamnation de ses alliés. Y compris en faisant adopter des lois ad hoc par "ses" députés.
Sa survie ne tient qu'à quelques fils : entendre de l'autre côté de la cloison le cheval voisin se coucher dans la paille à la nuit tombée, attendre le jour et l'arrivée de Martine, auxiliaire de vie et exquise pousse-au-crime, puis celle du jeune Edmond, 17 ans, cavalier d'une grâce inouïe, dont la prestance n'a d'égale que l'économie de parole.
La dernière année de formation de 4 jeunes footballeurs au FC Nantes, commentée par quatre champions du monde 1998 : Zidane, Deschamps, Thuram et Desailly. Vivez la compétition de haut niveau de l’intérieur !
Laurent, un garçon d'une quinzaine d'années, va mettre fin à ses jours dans un mois...
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.