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La Havane, 1995. Au plus fort de l’embargo américain, les Cubains traversent une crise économique sans précédent. Parmi eux, Candelaria et Victor Hugo, 150 ans à eux deux, vivent de bric et de broc jusqu’au jour où Candelaria rentre à la maison avec une petite trouvaille qui pourrait bien raviver la passion de leur jeunesse…
Un mot, un objet, une image, une coutume, une onomatopée… une devinette ! Karambolage se penche sur les particularités de la culture quotidienne française et allemande.
Quel bruit fait le déclencheur d’un appareil photo ? Pour commémorer le début de la fin du Rideau de fer, Jeanette Konrad revient sur le cliché emblématique qui a immortalisé la défection du soldat Hans Conrad Schumann lors de la construction du Mur en 1961 ; et bien sûr la devinette.
Un ex-détective devenu professeur en criminologie s’installe avec son épouse dans un nouveau quartier, à la recherche d’une vie tranquille. Alors qu’on lui demande de participer à une enquête à propos de disparitions, sa femme fait la connaissance de leurs étranges voisins.
Après une nuit arrosée, Jonas décide sur un coup de tête de rendre visite à son ancienne petite amie, Léa, dont il est toujours amoureux. Malgré leur relation encore passionnelle, Léa le rejette. Éperdu, Jonas se rend au café d’en face pour lui écrire une longue lettre, bousculant ainsi sa journée de travail, et suscitant la curiosité du patron du café. La journée ne fait que commencer...
Fortuna, jeune Éthiopienne de 14 ans, est accueillie avec d’autres réfugiés par une communauté de religieux catholiques dans un monastère des Alpes suisses. Elle y rencontre Kabir, un jeune Africain dont elle tombe amoureuse. C’est l’hiver et à mesure que la neige recouvre les sommets, le monastère devient leur refuge mais aussi le théâtre d’événements qui viennent ébranler la vie paisible des chanoines. Ceux-ci vont-ils renoncer à leur tradition d’hospitalité ? Parviendront-ils à guider Fortuna vers sa nouvelle vie ?
Pour son premier film, Vincent Delerm prolonge son travail ultrasensible sur l’intime, la mémoire et le rapport aux autres. Qu’est-ce qui nous construit ? Que ressentent les gens autour de nous ? Nos émotions et sensations n’appartiennent-elles qu’à nous ? Chaque personnage, célèbre ou anonyme, livre à Vincent Delerm quelque chose de lui, définissant sa sensibilité et sa manière de voir l’existence. Témoignages qui font sourire parfois, serrent le cœur souvent, conjuguent l’intime et l’universel. En filigrane, les propres émotions de l’auteur se dessinent le long d’un film musical, photographique, dont la narration est comme un fil invisible.
1940. Jeanne Reichenbach abandonne mari et enfant pour lier son destin à celui tragique de l’homme dont elle est éprise depuis l’adolescence alors qu’il est menacé par l’arrivée au pouvoir des artisans de la Collaboration. Elle traversera l’Europe et sacrifiera sa liberté pour épouser l’homme qu’elle aime au camp de Buchenwald où il sera enfermé, et, avec lui, elle survivra à cette épreuve. Cet homme, c’est Léon Blum.
Elia Suleiman fuit la Palestine à la recherche d'une nouvelle terre d'accueil, avant de réaliser que son pays d'origine le suit toujours comme une ombre. La promesse d'une vie nouvelle se transforme vite en comédie de l'absurde. Aussi loin qu'il voyage, de Paris à New York, quelque chose lui rappelle sa patrie.
Un conte burlesque explorant l'identité, la nationalité et l'appartenance, dans lequel Elia Suleiman pose une question fondamentale : où peut-on se sentir " chez soi " ?
Damien est en vacances chez Élise, sa petite amie, dans la maison familiale. Le grand frère d'Élise les rejoint pour le week-end. Il se montre très possessif et intrusif. L'amour fraternel flirte avec les limites. Damien s'en tiendra-t-il au rang de spectateur ?
Han Gan adorait dessiner et aimait par-dessus tout dessiner des chevaux…
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier.
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