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Contraint à se déplacer fréquemment pour des raisons professionnelles, le père de Maya veut maintenir le lien avec sa fille même lorsqu'il se trouve à l'autre bout du monde. Pour pouvoir continuer à lui raconter des histoires, il lui demande tous les soirs : "Maya, donne-moi un titre". A partir de là, il se lance ensuite dans la conception d'un dessin animé dont elle est l'héroïne. Des tremblements de terre, des sirènes, une mer polluée au ketchup, ou encore des courses-poursuites, les sujets sont originaux, divers et variés, et n'ont finalement qu'un seul et même but : provoquer de l'émotion...
À partir de 6 ans
Le 15 janvier 2004, le chalutier Bugaled Breizh sombrait dans la Manche en trente-sept secondes. Comment a-t-il pu couler si rapidement ? La belle-sœur d’un pêcheur disparu n’accepte pas les explications des autorités. Série inspirée d’une histoire vraie, "37 secondes" raconte le combat pour la vérité mené par les familles des victimes. Avec Nina Meurisse et Mathieu Demy. - Sacrée meilleure série française au festival "Séries Mania" 2025.
Épisode 1
Le 15 janvier 2004, le chalutier breton Bugaled Breizh chavire brutalement au large des côtes anglaises. Des secours sont aussitôt dépêchés sur place, en vain : deux marins sont retrouvés noyés, trois autres sont portés disparus. Familles et proches endurent la tragédie sans comprendre. En l’absence d’incident notable, comment le bateau a-t-il pu couler si rapidement ? Le procureur chargé du dossier conclut à une collision avec un cargo, mais Marie Madec, la belle-sœur d’un pêcheur disparu, n’accepte pas ces explications. D’autant que les autorités persistent à ignorer qu’un sous-marin a été vu dans la zone du naufrage… Au nom des victimes et de leurs familles, elle demande à un avocat, maître Costil, de leur venir en aide.
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Piotr Tchaïkovski, né en 1840 en Russie, entreprit d'écrire ce qui serait sa dernière symphonie, la Symphonie n° 6 en si mineur dite La Pathétique, en 1893. La première de l'oeuvre, que le compositeur russe dirigea lui-même à Saint-Pétersbourg en octobre 1893, laissa le public indifférent. C'est pourtant aujourd'hui l'une des symphonies les plus jouées et les plus enregistrées au monde. La Pathétique est dotée de tous les attributs de l'oeuvre légendaire, ne serait-ce que parce que Tchaïkovski mourut quelques jours après l'avoir créée - officiellement du choléra. Les circonstances de sa composition ont longtemps été entourées de mystère. On pense aujourd'hui qu'elle a été inspirée au compositeur par sa passion malheureuse pour son neveu Vladimir, à qui elle est dédiée. Si l'on en croit les confidences de Tchaïkovski, la Pathétique est une oeuvre à clef. C'est en tout cas une partition à la forme nouvelle, qui se conclut sur un mouvement lent - cette innovation a longtemps choqué interprètes et auditeurs.
Comment une oeuvre apparemment aussi simple a-t-elle pu devenir le plus grand succès du répertoire classique ? Enquête sur le mystère du Boléro composé par Maurice Ravel. On a dit que l’argument du Boléro était une scène de séduction, la danse d’une belle Andalouse cherchant à séduire un toréador. Cet aspect “érotique” a certainement contribué à la notoriété de l’oeuvre. Cela suffit-il à expliquer sa célébrité planétaire ? Quel est le secret de cette universalité et de la fascination que le Boléro exerce sur les cinéastes (Patrice Leconte, Jean Boyer…), les chorégraphes (Maurice Béjart, Odile Duboc…) ou sur des personnalités aussi diverses que les soeurs Labèque, Jean Echenoz ou Kurt Masur ? Comment cette oeuvre qui ne ressemble à aucune autre a-t-elle pu influencer, en même temps qu’elle le préfigure, le courant le plus prolifique de la musique d’aujourd’hui : la musique répétitive ou minimaliste ?