Gru, Lucy et les filles, Margo, Edith et Agnès accueillent le petit dernier de la famille, Gru Junior, qui semble n'avoir qu'une passion : faire tourner son père en bourrique. Mais Gru est confronté à un nouvel ennemi, Maxime Le Mal, qui avec l'aide de sa petite amie, la fatale Valentina, va obliger toute la famille à fuir.

Eliott est mort ! Enfin... Pas tout à fait. Contaminé par la grippe ectoplasmique d'Angus, le voilà séparé de son corps pour les prochaines 24 heures. Devenu fantôme, il expérimente avec joie ses nouveaux pouvoirs : voler, traverser les murs, prendre possession d'un corps...

Dans un Royaume imaginaire aux couleurs du Moyen Âge, des personnages hors normes confrontent leurs aspirations et questionnent leur place face aux lois et aux usages d’une société féodale marquée par les postures d’autorité.Une sorcière. Un fou. Une vagabonde. Un fanatique. Une créatrice. Un élève. Une bête... Autant de figures singulières tentant de survivre, osant s’accomplir là où l’immuabilité des pouvoirs contrôlent les corps comme les esprits. Marcel Shorjian nous donne à voir une époque cloisonnée par les liens vassaliques entre dominants et dominés et où l’individualisme n’existe pas encore. Adieu mon Royaume est une immersion baignée tout autant de poésie que de fureur qui, loin de fantasmer un passé révolu, questionne avant tout les limites sociétales du présent.@Babelio

Lorsqu'en novembre 1924, la colère explose dans le port de Douarnenez, Louise est l'une des meneuses qui entraînent les ouvrières des sardineries dans la plus grande grève féministe du XXe siècle. Parmi elles, Rose, une jeune paysanne catholique, s'engage dans le combat contre les cadences infernales et les salaires de misère. Prises dans ce vertige libérateur, les deux femmes osent même s'aimer.

Dans une maison aux abords d'un village de Castille, quatre générations se succèdent. De mère en fille se transmettent des douleurs et des jalousies qui rongent les âmes. La demeure semble réagir aux moindres gestes de ses habitants en faisant claquer ses portes et grincer les meubles.

Lucie aimerait avoir une nouvelle robe. Une sans rubans, ni paillettes, ni volants, mais une avec des poches pour les remplir de plumes, de coquillages et autres petits trésors.

La musique d'Ólafur Arnalds est semblable à son île: subtile et confinée. Et, comme elle, le jeune compositeur et producteur se plaît à flotter seul au milieu de l'immensité. Dans ce mix, il y inclut des titres de Jai Paul, James Blake, Julienne Barwick, Kiasmos. On y retrouve six morceaux exclusifs, dont une reprise qu'il fait avec son compatriote Arnor Dan des Destinty's Child (Say My Name). On retrouve dans ce mix, la quintessence de sa musique et ses aspirations: une écriture minimaliste, l'interprétation imposante, un lyrisme sombre et romantique. Un néoclassicisme qui s'offre de légers flirts avec la pop lorsqu'une boîte à rythmes vient dynamiser les compositions délicates de l'Islandais.

Nouveau volet dans la série des LATE NIGHT TALES. Cette fois, le quartet Canadien BadBadNotGood ! Le trio original composé de Matthew Tavares, Alex Sowinski et Chester Hansen s'est formé durant leurs études de musique à l'université de Humber, Torronto (Leland Whitty les a rejoint récemment). Leur dernier album acclamé par la critique "IV" les a propulsé, avec es collaborations de plus en plus nombreuses : Snoop Dogg, Kaytranada et Kendrick Lamar entre autres. Leurs inspirations très variées se font ressentir dans un mix international ou l'on retrouve B oards Of Canada, Erasmo Carlos, Thundercat, les Beach Boys, Andy Shauf, Lydia Lunch.

La collection Late Night Tales a été créée en 2001. L'idée de base : offrir à un artiste reconnu la possibilité de sélectionner ses titres préférés et de compléter l'ensemble par une reprise inédite, élaborée pour l'occasion. Le trio de Houston n'avait pas encore sorti d'album en 2013 lorsque le producteur et DJ Bonobo a inclus "A Calf Born in Winter" de Khruangbin dans sa propre compilation pour la série, mais le groupe est depuis devenu reconnu internationalement grâce à sa palette sonore immédiatement identifiable. " La série des LateNightTales est vraiment spéciale et nous devons une partie de notre succès actuel au LateNightTales de Bonobo, c'est comme ça que nous sommes entrés dans cette famille ". Avec une sélection époustouflante de morceaux qui traversent les frontières et les cultures, l'intérêt de Khruangbin pour les grooves de la sono mondiale - de la pop asiatique au reggae nigérian - du groove japonais moelleux aux saveurs latines - est imprégné d'éclectisme. Ainsi on passe du disco hindoue "Khushi" de Nazia Hassan au groupe de rock sud-coréen Sanullim, de deux titres explosifs africains à des passages par la Biélorussie et l'Espagne, avant de retourner au Texas.